Observe la plaine là-bas puisque tu n’es plus très loin,

Te parait-elle comme tu l’imaginais dans tes plus belles pensées,

Cette vision que tu désirais tant, alors prends-en bien soin,

Car le monde court à sa perte dans cette terrible densité,

Vois-tu venir le rouleau compresseur destiné à nos médiocrités,

Qui d’un souffle anéantira toutes nos contrariétés éparpillées,

Alors dors et n’aie plus peur car bientôt tu seras libéré,

Le Veilleur t’appelle à apaiser ton cœur de tous ses péchés,

Avance vers Lui et ne craint rien, car toi seul connaît ta véritable piété.

F. Achouri

Sociologue et consultante en développement des ressources humaines.

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